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Dans le monde, 35 laboratoires sont accrédités par l’A.M.A (Agence Mondiale Antidopage) pour analyser les prélèvements. En France, le seul laboratoire accrédité est celui de l’AFLD (Agence Française de Lutte contre le Dopage), situé à Châtenay Malabry. Son rôle est de détecter la prise de substances dopantes chez un sportif, en ou hors compétition. Les personnes chargées des contrôles sont appelées « préleveurs », elles sont agrées par l’AFLD et assermentées par le procureur de la République. 

En pratique, le sportif est tiré au sort en fonction de ses résultats en compétition ou sur libre choix du préleveur. Le sportif reçoit alors une convocation lui indiquant les modalités du contrôle. Lors de son arrivée au local antidopage, le préleveur s’entretient avec le sportif, relève le nom des médicaments pris par celui-ci et vérifie la présentation d’une éventuelle autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT). Le sportif passe ensuite par la phase de prélèvement. Il est possible de prélever des cheveux, de la salive et du sang, mais les  principaux prélèvements sont ceux de l’urine, car ils sont plus faciles à réaliser.

 

 

Une fois le prélèvement réalisé, l’échantillon est acheminé au laboratoire. Après une première analyse rapide, appelée le screening, permettant de détecter la présence ou non d’un dopant, une deuxième étape plus approfondie permet de détecter de quelle substance il s’agit.

Les scientifiques utilisent des appareils de mesure pour révéler la présence de produits dopants. Ils ont recours à la spectrométrie et à la chromatographie.

Les moyens de détection

© 2018 par Julien, Killian & Théophile

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